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Madame, Monsieur
Je m’appelle Lou Pegaz, j’ai 22 ans et je suis actuellement à la recherche d’une entreprise pour compléter ma formation adulte de maroquinerie chez les Compagnons du Devoir. Je vous écris donc pour vous proposer ma candidature et vous faire part de mes motivations à travailler.
J’ai décidé après deux ans d’errance professionnelle et une expérience enrichissante de deux ans à l‘école des beaux arts de Saint-Etienne , de réévaluer mes capacités et mes choix passés en me posant la question suivante : que veux-tu faire de tes mains ? En prenant régulièrement des rendez-vous afin de préparer mon avenir professionnel je suis parvenu à force de discussion aux conclusions suivantes : j’ai besoin d’apprendre de nouvelles choses, de construire, d’assembler, et surtout très envie de créer. En me penchant sur les différents métiers manuels c’est celui de maroquinier qui m’est apparu comme une révélation.
Grâce aux nombreux ateliers de l’école j’ai appris à réaliser un projet passant d’un simple dessin à une réalisation 3D. Il m’a fallu en amont distinguer et comprendre les différentes techniques mises à dispositions par les intervenants et professeurs de l’école. J’ai retrouvé dans ces différentes étapes des similitudes avec le métier de maroquinier. En effet, le métier demande précision et rigueur qui sont mes qualités premières et c’est dans votre entreprise que je me vois évoluer. La transmission du savoir faire est primordial pour avancer avec notre temps et c’est chez vous que je souhaiterai le faire perdurer. De plus, la maroquinerie est un art très intéressant car il évolue avec la mode et les besoins.
Par ailleurs, je sais que votre entreprise dispose d’une équipe active et soigneuse, ce sont ces qualités que je souhaite retrouver en travaillant. Je suis moi-même méticuleuse et j’apporte une grande importance au travail soigné. Je suis motivé et patiente, je ne demande qu’à apprendre.
En espérant, Madame, Monsieur, que ma candidature retiendra votre attention, veuillez croire en ma considération distinguée.
Cordialement,
Lou Pegaz
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